Filtrer
Rayons
Support
Éditeurs
Rackham
-
-
Caricature réunit neuf histoires de Daniel Clowes (Caricature, Blue italian shit, La maman dorée, MCMLXVI, Comme une brindille, Joe, Immortel, invisible, Eyeliner vert, Gynécologie, Nylon noir) publiées à l'origine dans la revue Heightball. Toutes ces histoires sont liées par le fil rouge de la solitude urbaine et du désespoir : Le caricaturiste de foire, le puceau qui s'installe en ville, la blonde obsédée par l'ancien camarade de classe devenu star de la télé, le jeune homme qui se prend pour un super héros... autant de portraits déformés, immergés dans une réalité décalée et trouble qui se situe quelque part, aux antipodes du rêve américain, dont Clowes dévoile les inquiétantes coulisses. « Ces histoires reflètent toute la sophistication de l'univers de Daniel Clowes : étrangeté, ironie, nostalgie, obsession du détail. Des récits de vie quotidienne servis par un dessin des plus modernes et terriblement efficace » (Les Inrockuptibles) Les pages de Caricature sont sans doute parmi les meilleures de Daniel Clowes : à découvrir ou redécouvrir.
-
Situé chronologiquement avant les faits racontés dans The hard goodbye, J'ai tué pour elle est l'épisode de Sin City qui colle de plus près à la tradition du roman hard-boiled : jolies filles, belles voitures, corruption, sensation de danger imminent... Au centre du récit, Ava Lord, la belle et terrible mante religieuse, tue et dévore tous ceux qui s'approchent trop d'elle. En toile de fond - toujours enveloppée par une atmosphère violente et oppressante - Basin City, la ville du péché, ses bas fonds et ses beaux quartiers, ses criminels et ses flics pourris.
-
Le protagoniste de Le grand carnage est à nouveau Dwight Mc Carthy, le person-nage central de J'ai tué pour elle. Le récit, toujours un polar, tourne autour d'un meurtre et d'un cadavre dont il faut à tout prix se débarrasser. Le fil conducteur est celui d'une course poursuite qui se déroule à un rythme endiablé, ponctuée d'affron-tements et de véritables... carnages. En toile de fond, défilent les quartiers de Basin City, dont on commence à apercevoir la géographie, et en particulier la "vieille ville" où les prostituées font la loi. Miho, la prostituée-ninja, y fait sa première apparition : véritable machine à tuer, nous la croiserons à nouveau dans les épisodes suivants.
Sans doute l'épisode le plus violent et sanguinaire de la saga de Sin City, remar-quable pour son découpage sans bavure, qui insuffle au récit un exceptionnel dyna-misme.
-
Hartigan, vieux flic brisé par le sénateur Roark, est libéré après huit ans de prison et se bat jusqu'à la mort pour sauver Nancy Callahan des griffes d'un violeur et tueur en série, qui n'est rien d'autre que le fils du tout puissant Roark. Corruption, dépravation mais aussi exaltation du sacrifice, sont au centre de Cet enfant de salaud, où Miller revient aux registres narratifs de The Hard Goodbye tout en déployant un effort particulier dans la construction de la psychologie du personnage. Pour la première fois, l'auteur utilise la couleur dans une série jusqu'là rigoureusement en noir en blanc.
À l'occasion du vingtième anniversaire de la publication du premier épisode de Sin City, Rackham réédite l'intégralité de la série dans un nouveau format et avec de nouvelles couvertures, spécialement dessinées par Frank Miller. Couverture carton-né, dos rond, tranche-fil rouge. tout pour en faire un collector.
-
Sherman est libraire et voudrait se consacrer à l'écriture, mais pour l'instant il traîne avec son pote Ed qui, lui, rêve de vivre de ses bandes dessinées et de perdre enfin son pucelage. Sherman est en couple avec Dorothy, journaliste très portée sur la boisson ; les deux vivent en colocation avec un autre couple, Stephen et Jane, lui enseignant, elle dessinatrice. Ils ont tous entre 23 et 25 ans, viennent de terminer leurs études et démarrent leur vie active non sans hésitations et difficultés : chagrins d'amour, addictions, mesquineries, trahisons. Grand est le désordre sous le ciel : leur entrée dans la « vraie vie » ne semble pas se présenter sous les meilleurs auspices.
Ce récit choral où l'on suit pour plus de 600 pages les déboires de six personnages différents renferme des prouesses scénaristiques rarement égalées. L'extraordinaire habileté de Robinson à esquisser des personnages qui échappent à tout cliché déjoue systématiquement toute attente du lecteur et en capture l'attention jusqu'au surprenant dénouement final. Le récit, qui a reçu en 2005 le prix du Meilleur premier album au festival d'Angoulême, est suivi des histoires courtes réalisées par Robinson autour des personnages de De mal en pis qui avaient été publiées auparavant dans le volume Bonus! et comprend aussi une histoire inédite en France.
-
Un gars paumé recherche un peu de chaleur dans les bras d'une fille à la beauté renver-sante, une petite frappe est à la recherche d'un coup tordu à faire, des pauvres types ne font que se retrouver au mauvais moment au mauvais endroit, pendant qu'un grand gaillard marche silencieux sous la neige.
Onze histoires courtes où l'on retrouve des personnages bien connus : Marv, Miho ou le tandem Klump & Schlubb. Tueurs, règlements de comptes et femmes fatales sont, comme à l'accoutumée, au rendez-vous.
Après le jaune de Cet enfant de salaud, Frank Miller ajoute des petites touches de cou-leur à l'univers en noir et blanc de Sin City. du bleu, du rose, du rouge soulignent dans ce volume, caractères et situations.
À l'occasion du vingtième anniversaire de la publication du premier épisode de Sin City, Rackham réédite l'intégralité de la série dans un nouveau format et avec de nouvelles couvertures, spécialement dessinées par Frank Miller.
-
Sin City, comme toutes les villes où règne le crime et la violence, a une pègre et cette pègre a un parrain, Don Giacco Magliozzi. Comme tous ses semblables, il a un code d'honneur et des valeurs, la famille par-dessus tout, avec lesquels il ne badine pas du tout. Un soir, à la sortie d'un restaurant, un petit truand flingue un indic' et sa copine, qui n'est autre que la nièce de Magliozzi. Le malheureux petit truand va devoir faire face à la vengeance du parrain. Une traque impitoyable démarre aussitôt. mais les choses se compliquent quand une balle perdue tue une fille de la Vieille Ville. Miho, la terrible petite tueuse, reprend du service. la pègre de Sin City va en faire les frais.
Valeurs familiales est le seul tome de la série Sin City a ne pas avoir été préalablement publié sous forme de comics.
À l'occasion du vingtième anniversaire de la publi-cation du premier épisode de Sin City, Rackham réédite l'intégralité de la série dans un nouveau format et avec de nouvelles couvertures, spécia-lement dessinées par Frank Miller.
Couverture cartonnée, dos rond, tranche-fil rouge. bref : un collector !
-
-
Sorti pour la première fois en France en 1994 (un an après sa sortie en album aux États-Unis), le premier volume de la saga de la Ville du péché est considéré comme une des oeuvres majeures de Frank Miller, qui a marqué l'histoire de la bande dessi-née. Politiciens véreux, prostituées, femmes fatales, voyous et pauvres types se croi-sent dans les pages de Sin City, composant une fresque cynique et parfois ironique d'une société malade. Hybridation entre roman noir, univers des super-héros et codes du manga, Sin City surprend encore aujourd'hui par son scénario admirable-ment construit et l'élégance puissante du noir et blanc de Miller.
À l'occasion du vingtième anniversaire de sa première sortie, Rackham réédite l'intégralité de la série dans un nouveau format et avec de nouvelles couvertures, en com-mençant par ce premier volet qui va prendre désormais le titre de The hard goodbye que Miller lui a attribué en hommage à Raymond Chandler.
-
Ancien Navy Seal, Wallace gagne maintenant sa vie comme dessinateur de presse. Un soir, alors qu'il se balade seul en bord de mer, il aperçoit une jeune fille se jeter du haut d'une falaise. Sans hésiter, il plonge à son tour, parvient à la sortir de l'eau et la sauver. Entre Wallace et la jeune fille, Esther, nait d'emblée une forte sympathie qui ne tarde pas à se transformer en attirance réciproque ; ensemble, ils sont heureux et décident d'aller boire un verre dans un bar : Wallace raconte son passé militaire et Esther les débuts de sa carrière d'actrice. Mais, lors qu'il est sur le point d'embrasser Esther, Wallace perd connaissance. À son réveil, il comprend avoir été drogué. Esther a disparu et Wallace décide de la retrouver à tout prix...
À l'occasion du vingtième anniversaire de la publication du premier épisode de Sin City, Rackham réédite l'intégralité de la série dans un nouveau format et avec de nouvelles couvertures, spécialement dessinées par Frank Miller. Couverture cartonné, dos rond, tranche-fil rouge. un collector !
-
Nouveautés à prix cassés ; les délices de la décadence urbaine
Ben Katchor
- Rackham
- Le Signe Noir
- 11 Septembre 2017
- 9782878272062
Prénom : Julius. Nom : Knipl. Âge : la cinquantaine. Profession : photographe immobilier. Particularité : ne se sépare jamais de son costume immuablement froissé. Si on cherche cet homme aimable et discret, on le trouvera sans aucun doute en suivant l'ombre des gratte-ciels new-yorkais, à se faufiler au milieu d'immeubles de logements à loyers modérés et d'entrepôts désaffectés. Car la ville que Knipl photographie, faite de kiosques à boissons, de restaurants à bas prix et de petits commerces en tout genre, est un paysage sur le déclin. Dans ses clichés, il tente de figer le fugitif pour conserver l'esprit des lieux et des choses : les poids en fonte des marchands de journaux, les sucriers collectifs aux comptoirs et tables de cafés, les distributeurs de bicarbonate de sodium des restaurants ou encore les boissons désaltérantes artisanales, depuis remplacées par des canettes en métal... Mais cet univers urbain, dans son inexorable disparition, a emporté avec lui les relations humaines qui se tissaient et qui le dessinaient. Paru pour la première fois en 1991, Nouveautés à prix cassé a révélé tout le génie de Ben Katchor pour la narration et la chronique urbaine. Usant d'un trait et d'un oeil aussi précis qu'incisifs, son travail témoigne d'une attention particulière à ces infinis détails qui échappent toujours aux observateurs les plus pressés. Vingt-cinq ans plus tard, les strips de Katchor deviennent un passage en revue édifiant de tout ce que la gentrification et la globalisation à outrance ont réduit à néant. Sans tomber dans la nostalgie d'une époque révolue, l'inventaire qu'il propose a aujourd'hui largement dépassé le seul cadre new-yorkais, nous forçant à sans cesse nous interroger sur le sens de notre existence.
-
Dès son enfance, Frank Miller a été fasciné par le récit de la bataille des Thermopyles et du combat héroïque du roi Léonidas et de ses Spartiates. La version qu'il livre dans les pages de 300 diverge largement des faits historiques, tout en étant marquée par les thématiques communes à l'ensemble de son oeuvre :
Célébration du surhomme et de son esprit de sacrifice, légitimation de la violence comme vecteur de liberté... Si l'approche de Miller peut paraître originale tout autant que déconcertante, la puissance de son trait, magnifiquement secondé par la mise en couleurs de Lynn Varley, sa maîtrise de la composition et du rythme narratif surprennent et émerveillent le lecteur à chaque page de cette fresque épique. Le maître américain est au sommet de son art.
-
Depuis des années nous rêvions de réunir toutes les 1336 planches de Sin City, le chef-d'oeuvre de Frank Miller, dans un seul et unique recueil. Il nous a fallu beaucoup de patience et le recours à toute notre expertise technique. C'est maintenant chose faite. Les sept épisodes de la saga de la Ville du péché - de The Hard Goodbye à L'enfer en retour - avec ses malfrats, ses filles de joie, ses politiciens véreux, ses ambiances glauques et son ultra-violence sont édités dans un épais volume, dans la tradition des « Omnibus », qui fera le bonheur des fans, des collectionneurs et de tous ceux qui ont envie d'offrir un super cadeau pour les fêtes de fin d'année.
-
-
-