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Ethos
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Londres en 1984, le monde depuis les grandes guerres nucléaires des années 1950, est divisé en trois grands «blocs»: l'Océania, l'Eurasia et l'Estasia, en perpétuelle guerre les uns contre les autres et dirigés par différents régimes totalitaires : «l'Angsoc» pour l'Océania, le «néo-bolchévisme» pour l'Eurasia et le «Culte de la Mort» pour l'Estasia. Trois partis prétendant défendre le bas de la pyramide sociale. À côté de ces trois blocs subsiste le «Quart-monde»: territoire non-aligné et démuni, mais convoité par les trois blocs en guerre pour son contrôle total. Winston Smith, 39 ans, résidant en Océania, est employé par l'Angsoc (terme novlangue pour «Socialisme anglais») et officie au ministère de la Vérité où il est chargé de remanier les archives historiques afin de faire correspondre le passé à la version «officielle» que le Parti souhaite projeter. Lorsque l'Océania déclare la guerre à l'Estasia, le ministère de la Vérité et son commissariat des archives où travaille Winston doivent veiller à ce que plus aucune trace écrite n'existe de l'ancienne alliance avec l'Estasia. Toutefois, contrairement à la majeure partie de la population, Winston ne parvient pas à se réduire à cette «amnésie sélective» et ne peut donc adhérer aux mensonges du Parti. Il prend alors conscience qu'il n'a pas de pensées aussi orthodoxes qu'il devrait en avoir... Susceptible d'être traqué par la Police de la Pensée (redoutable organisation de répression), il dissimule ses opinions contestataires aux yeux de ses collègues de travail. Néanmoins, désirant garder une trace de son passé, Winston enfreint la loi et couche ses pensées sur le papier.
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L'heure de la révolte des animaux a sonnée à la ferme !
Un soir, après une journée de travail épuisante pour les animaux, le manque de nourriture provoque la colère générale. Dans un moment de révolte, ils attaquent le propriétaire de la "Ferme du Manoir", Mr. Jones, ainsi que ses ouvriers agricoles, puis les chassent de la ferme. Arrachée aux mains de ses propriétaires, celle-ci est renommée la "Ferme des animaux". Les cochons prennent rapidement le pouvoir, se décrétant supérieurement intelligents. Un système politique régira désormais la vie de la ferme : "l'Animalisme", et un emblème communiste ; la faucille et le marteau).
Peu après, sept grands commandements seront décrétés et feront oeuvre de "Loi" :
Commendement n° 1 : Tout deux pattes est un ennemi.
Commendement n° 2 : Tout quatre pattes ou volatille est un ami.
Commendement n° 3 : Nul animal ne portera de vêtements.
Commendement n° 4 : Nul animal ne dormira dans un lit.
Commendement n° 5 : Nul animal ne boira d'alcool.
Commendement n° 6 : Nul animal ne tuera un autre animal.
Commendement n° 7 : Tous les animaux sont égaux.
Cependant, après la révolte et les doux rêves de "liberté", apparaît une nouvelle forme de domination, cette fois, imposée par les animaux les plus puissants sur les plus faibles. Un nouveau totalitarisme est né !
George Orwell nous plonge ici dans une fable : allégorie du "Pouvoir totalitaire". De grands personnages de l'Histoire, pour beaucoup dictateurs (Hitler, Staline, Lénine, Nicolas II, etc.) y sont représentés dans nos personnages.
"Celui qui contrôle le présent contrôle le passé. Celui qui contrôle le présent contrôle le passé. Celui qui controle le passé contrôle le futur".
George Orwell
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L'enracinement ; prélude à une déclaration des devoirs envers l'être humain
Simone Weil
- Ethos
- 24 Mars 2017
- 9791092128512
Chaque être humain a besoin d'avoir de multiples racines. Les échanges d'influences entre milieux très différents ne sont pas moins indispensables que l'enracinement dans l'entourage naturel. L'enracinement est peut-être le besoin le plus important et le plus méconnu de l'âme humaine. C'est un des besoins les plus difficiles à définir. Il y a cependant déracinement toutes les fois qu'il y a conquête, et en ce sens la conquête est presque toujours un ''mal''. Les conquérants sont des migrateurs qui s'installent dans le pays conquis, se mélangent à la population et prennent racine eux-mêmes. Mais quand le conquérant reste étranger au territoire dont il est devenu possesseur, le déracinement est une maladie presque mortelle pour les populations soumises. Le pouvoir de l'argent et la domination économique peuvent également imposer une influence étrangère au point de provoquer la maladie du déracinement. Enfin les relations sociales à l'intérieur d'un même pays peuvent être des facteurs très dangereux de déracinement.
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Note sur la suppression generale des partis politiques
Simone Weil
- Ethos
- 13 Décembre 2016
- 9791092128437
Le fait que les partis existent n'est nullement un motif de les conserver. Seul le bien est un motif légitime de conservation. Le mal des partis politiques saute aux yeux... Le problème à examiner, c'est s'il y a en eux un bien qui l'emporte sur le mal et rende ainsi leur existence désirable. Mais il est beaucoup plus à propos de demander : Y a-t-il en eux même une parcelle infinitésimale de bien ? Ne sont-ils pas du mal à l'état pur ou presque ? S'ils sont du mal, il est certain qu'en fait et dans la pratique, ils ne peuvent produire que du mal. C'est un article de foi. ''Un bon arbre ne peut jamais porter de mauvais fruits, ni un arbre pourri de beaux fruits''. Mais il faut d'abord reconnaître quel est le critère du bien. Ce ne peut être que la vérité, la justice, et en second lieu, l'utilité publique. La démocratie, le pouvoir du plus grand nombre, ne sont pas des biens. Ce sont des moyens en vue du bien, estimés efficaces à tort ou à raison. Seul ce qui est juste est légitime. Le crime et le mensonge ne le sont en aucun cas. La vérité est ''une''. La justice est ''une''. Les erreurs, les injustices sont indéfiniment variables. Ainsi les hommes convergent dans le juste et le vrai, au lieu que le mensonge et le crime les font indéfiniment diverger. L'union étant une force matérielle, on peut espérer trouver là une ressource pour rendre ici-bas la vérité et la justice matériellement plus fortes que le crime et l'erreur. Presque partout - et même souvent pour des problèmes purement techniques - l'opération de prendre parti, de prendre position pour ou contre, s'est substituée à l'obligation de la pensée. C'est là une lèpre qui a pris origine dans les milieux politiques, et s'est étendue à travers tout le pays, presque à la totalité de la pensée. Il est douteux qu'on puisse remédier à cette lèpre, qui nous tue, sans commencer par la suppression des partis politiques. « On ne peut servir Dieu et Mammon. Si on a un critère du bien autre que le bien, on perd la notion du bien ».
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René Guénon, dans les mois qui précédèrent immédiatement sa mort, avait donné quelques indications en vue de l'accomplissement de son oeuvre lorsqu'il aurait disparu. Dans des lettres datées du 30 août et du 24 septembre 1950, il exprimait, entre autres choses, le désir que soient réunis en volumes les articles qu'il n'avait pas encore utilisés dans ses livres déjà existants. Cet ouvrage est la première réalisation du voeu formulé par René Guénon et les articles qui le composent se groupent en quatre parties. Dans la première partie, l'auteur traite des obstacles mentaux et psychologiques qui peuvent s'opposer à la compréhension du point de vue initiatique et à la recherche d'une initiation ; ce sont : la croyance à la possibilité de ''vulgariser'' toute connaissance, la confusion entre la métaphysique et la dialectique qui en est l'expression nécessaire et imparfaite, la peur, et le souci de l'opinion publique. La seconde partie précise et développe certains points très importants concernant la nature de l'initiation et certaines des conditions de sa recherche, et y sont explorés des sujets tels que le cas où l'initiation est obtenue en dehors des moyens ordinaires et normaux ; l'influence spirituelle proprement dite des influences psychiques qui en sont comme le ''vêtement'' ; la nécessité d'un exotérisme traditionnel pour tout aspirant à l'initiation, etc. Dans la troisième partie, sont exposés : la méthode et les différentes voies de la ''réalisation initiatique'' ainsi que la question du ''Maître spirituel''. La dernière partie et, à plusieurs égards, la plus importante, envisage certains degrés de cette réalisation spirituelle dont tout ce qui précède a pour but de faciliter la compréhension et, dans une certaine mesure, les moyens d'accès. Les trois derniers chapitres, qui sont véritablement ''la clef'' du présent livre, apportent l'exposé métaphysique permettant la compréhension intellectuelle de la possibilité, à partir de notre état corporel, d'une réalisation spirituelle totale ainsi que de la nature et de la fonction des Envoyés divins que les diverses traditions désignent par les noms de Prophète, Rasûl, Bodhisattwa et Avatâra.
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La métaphysique orientale est la transcription d'une conférence que René Guénon donna à la Sorbonne en 1925. Il est important de préciser que la métaphysique pure étant par essence en dehors et au delà de toutes les formes et de toutes les contingences, n'est ni ''orientale'' ni ''occidentale'', mais elle est ''universelle''. L'adjectif ''orientale'' ne représente que les formes extérieures de la métaphysique dont elle est revêtue pour les nécessités d'une exposition, pour en exprimer ce qui est exprimable, ce sont ces formes qui peuvent être soit orientales, soit occidentales ; mais, sous leur diversité, c'est un fond identique qui se retrouve partout et toujours, partout du moins où il y a de la métaphysique vraie, et cela pour la simple raison que la vérité est ''une''. S'il en est ainsi, pourquoi parler plus spécialement de métaphysique orientale ? C'est que, dans les conditions intellectuelles où se trouve actuellement le monde occidental, la métaphysique y est chose oubliée, ignorée en général, perdue à peu près entièrement, tandis que en Orient, elle est toujours l'objet d'une connaissance effective. Si l'on veut savoir ce qu'est la métaphysique, c'est donc à l'Orient qu'il faut s'adresser ; et, même si l'on veut retrouver quelque chose des anciennes traditions métaphysiques qui ont pu exister en Occident, dans un Occident qui, à bien des égards, était alors singulièrement plus proche de l'Orient qu'il ne l'est aujourd'hui, c'est surtout à l'aide des doctrines orientales et par comparaison avec celles-ci que l'on pourra y parvenir, parce que ces doctrines sont les seules qui, dans ce domaine métaphysique, puissent encore être étudiées directement.
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Une foule d'ouvrages, ces derniers temps plus nombreux que jamais, ont déjà été consacrés à la question du Spiritisme. Pourtant, il est certain qu'il n'a pas été dit tout ce qu'il y avait à dire à ce sujet. René Guénon, avec une remarquable intelligence, déconstruit littéralement les sectes et mouvements occultes, qu'il qualifie de néfastes et malfaisantes, soulignant les erreurs et incohérences qui forment le fond de la doctrine spirite. L'auteur fait l'examen des phénomènes que les spirites invoquent à l'appui de leurs théories. Une démonstration spectaculaire de l'auteur, nous prouvant sa maîtrise implacable du sujet. « L'histoire du spiritisme, à nos yeux, ne constitue qu'un épisode de la formidable déviation mentale qui caractérise l'Occident moderne [...] Si le spiritisme était uniquement théorique, il serait beaucoup moins dangereux qu'il ne l'est et n'exercerait pas le même attrait sur bien des gens ». René Guénon
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« Le problème politique de "l'appareil de gouvernement" est le plus important de ceux qui se posent aux sociétés humaines. Souvent, le conflit qui surgit au sein d'une famille se ramène à ce problème. Ce problème est devenu très grave depuis l'apparition des sociétés modernes. Actuellement, les peuples affrontent ce problème persistant, et les sociétés supportent nombre de risques et de conséquences extrêmes qui en résultent. Elle n'ont pas encore réussi à lui trouver une solution définitive et démocratique. Ce ''Livre Vert'' présente la solution théorique définitive au problème de "l'appareil de gouvernement". De nos jours, l'ensemble des régimes politiques est le résultat de la lutte que se livrent les appareils pour parvenir au pouvoir, que cette lutte soit pacifique ou armée, comme la lutte des classes, des sectes, des tribus, des partis ou des individus, elle se solde toujours par le succès d'un appareil, d'un individu, d'un groupe, d'un parti ou d'une classe, ainsi que par la défaite du peuple, donc de la démocratie véritable. La lutte politique qui aboutit à la victoire d'un candidat, avec, par exemple 51% de l'ensemble des voix des électeurs, conduit à un système dictatorial, mais sous un déguisement démocratique. En effet, 49% des électeurs sont gouvernés par un système qu'ils n'ont pas choisi, et qui, au contraire, leur a été imposé. Et cela c'est la dictature.... ».
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La Société Théosophique, comme cet ouvrage le présente, ne doit son appellation qu'à des circonstances accidentelles, sans lesquelles elle aurait reçu une tout autre dénomination ; aussi ses membres ne sont nullement des théosophes, mais des ''théosophistes''. Ce que les théosophistes présentent comme leur doctrine apparaît, après un examen sérieux, comme rempli de contradictions ; de plus, d'un auteur à l'autre, et parfois chez un même auteur, il y a des variations considérables, même sur des points qui sont regardés comme les plus importants. Deux périodes principales sont à étudier : la direction de Mme Blavatsky et à celle de Mme Besant. Les théosophistes actuels essaient fréquemment de dissimuler les contradictions de leur doctrine en interprétant à leur manière la pensée de leur fondatrice et en la prétendant ''mal comprise'' par les détracteurs. Mais le désaccord n'en est pas moins réel. Nous comprendrons sans peine que l'étude de théories aussi inconsistantes ne puisse guère être séparée de l'Histoire. D'une façon générale, les théories plus ou moins cohérentes qui ont été émises ou soutenues par la Société Théosophique n'ont aucun caractères ou traits communs avec les sociétés à doctrines ''habituelles'', à part la prétention à l'ésotérisme, se présentant, faussement d'ailleurs comme ayant une origine orientale mélangée à un pseudo-judéo-christianisme sous couvert d'une véritable tendance primitive ''antichrétienne''. « Notre but [disait Mme Blavatsky] n'est pas de restaurer l'Hindouïsme, mais bien de balayer le Christianisme de la surface de la terre ».
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Les demeures philosophales ; et le symbolisme hermétique dans ses rapports avec l'art sacré et l'esotérisme du grand-œuvre Tome 1 et Tome 2
Fulcanelli, Julien Champagne
- Ethos
- 20 Novembre 2020
- 9791092128604
À l'instar des civilisations successives, le progrès humain obéit à la loi indubitable du perpétuel recommencement. Envers et contre tous, la Vérité finit toujours par triompher, malgré sa marche lente, pénible et tortueuse. Le bon sens et la simplicité ont raison tôt ou tard des sophismes et des préjugés, « car il n y a rien de caché, enseigne l'Écriture, qui ne doive être découvert, ni rien de secret qui ne doive être connu ». Parmi les auteurs anciens et les écrivains modernes, Fulcanelli est, sans conteste, l'un des plus sincères et convaincants. Il établit la théorie hermétique sur des bases solides, l'étaye de faits analogiques évidents, puis l'expose d'une manière simple et précise. Pour découvrir sur quoi reposent les principes de l'art, grâce au développement net et ferme, il ne reste au lecteur que peu d'efforts à faire. Il lui sera possible même d'accumuler un grand nombre de connaissances nécessaires pour tenter de quitter le domaine spéculatif pour celui des réalisations positives. Fulcanelli a poussé le détail de la pratique bien plus loin que tout autre, dans une intention de charité. Sa méthode est différente de celle qui a été employée par ses prédécesseurs ; elle consiste à décrire par le menu toutes les opérations de l'oeuvre, après les avoir partagées en plusieurs fragments. Comme le proclamait Fulcanelli, « on n'emprisonne pas perpétuellement l'esprit dans les liens d'un positivisme illusoire et stérile ». Cet ouvrage est l'expression méticuleuse de la peine énorme qu'elle infligea à l'auteur pour son invention, des efforts inouïs qu'elle exigea de lui pour sa parfaite préparation. Fulcanelli entendit toujours sous l'expression « Demeure Philosophale », tout support symbolique de l'hermétique Vérité, à savoir, par exemple, le bibelot conservé sous vitrine, la pièce d'iconographie, en simple feuille ou en tableau, le monument d'architecture, qu'il soit détail, vestige, logis, château ou bien église. Enfin, il nous semblerait n'avoir point tout dit si nous omettions de signaler les remarquables et splendides dessins du peintre Julien Champagne présents dans cet ouvrage.
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Mein Kampf fut rédigé par Adolf Hitler entre 1924 et 1925. Commencé pendant les neuf mois de sa détention à la prison de Landsberg à la suite du ''putsch de la Brasserie'', l'ouvrage contient des éléments autobiographiques, l'histoire des débuts du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP), diverses réflexions sur la propagande ou l'art oratoire ainsi que des menaces précises et des projets hostiles envers plusieurs peuples (dont les français). L'auteur y expose longuement sa "conception du monde" et celle du national-socialisme et y annonce sans ambiguïté, le programme du parti nazi, fondé notamment sur la volonté de réunification des territoires à population germanique (le pangermanisme) ainsi que la nécessité de s'assurer, en Europe de l'Est, un ''Espace Vital'' allemand.
La rédaction de Mein Kampf répond à plusieurs motivations de l'auteur :
- Emprisonné du 11 novembre 1923 au 20 décembre 1924 à la prison de Landsberg, Hitler se sent trahi. Gouverné par l'émotion et la colère, il cherche un règlement de compte personnel ;
- Du fait des avocats qu'il a dû engager pour sa défense, Hitler est criblé de dettes et la perspective de droits d'auteur n'est pas étrangère à sa démarche d'écriture ;
- Enfin et surtout, Hitler veut s'imposer politiquement et devenir la force idéologique des milieux nationalistes de son époque. La rédaction d'un texte qu'il conçoit comme un manifeste est pour lui une étape obligée de son parcours politique.
Cette réédition intégrale de Mein Kampf est à caractère purement historique.
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Cet ouvrage contient la reproduction intégrale en couleur du Manuscrit de Voynich. Qualité d'image en très haute définition ; rendant pour la toute première fois les caractères et les différents détails extrêmement lisibles (même les plus petits). Le format est fidèle au manuscrit d'origine. Ce magnifique livre a été fabriqué autant pour les simples amateurs que pour les cryptologues afin tenter de casser le code du manuscrit encore indécodable à ce jour...
Etes-vous celui qui réussira à casser le code du manuscrit de Voynich ?
Note de l'éditeur : L'écriture est à notre connaissance, pratiquement aussi ancienne que l'Homme. Chaque code linguistique est le résultat de la subtilité pragmatique et artistique d'un peuple ou d'un groupe ethnique. Le code est généralement créé pour être décodé, aussi difficile soit-il. Parmi les multiples codes de l'humanité, beaucoup ont été déchiffrés. Le Manuscrit de Voynich a la particularité d'être pour le moment indécodable malgré les nombreux spécialistes cryptologues et autres savants qui se sont penchés sur cette question, y compris les services secrets américains US Army Cryptographe avec à leurs bord dans les années 1930 le spécialiste William Frederick Friedman à qui aucun document codé ne résistait mise-à-part celui-ci. Un gigantesque secret se cache encore dans les pages du manuscrit de Voynich. Jusqu'à présent, aucune théorie sur ce manuscrit n'a réussi à s'imposer.
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Après de longues années de censure en Europe, le Livre jaune n°5 fait son retour chez les éditions Hades. Attention : dans cet ouvrage réside une vision totalement neuve du monde. Quand vous aurez terminé la lecteur de ce livre, sachez que vous risquez d'être complètement bouleversé ! Les personnes dont il est question dans ce livre n'appartiennent à aucune nation. Elles ne sont ni de gauche, ni de droite, ni libérales, mais utilisent toutes les institutions pour poursuivre leurs buts. Ces personnes se servent des chrétiens comme des juifs, des fascistes comme des communistes, des sionistes comme des islamistes, des athées comme des orthodoxes, des pauvres comme des riches... La plus grande partie du peuple ne connaît même pas leurs noms. Se défendre serait louable, mais comment se défendre contre quelque chose dont nous ne connaissons même pas l'existence ? Nous conseillons à tous les esprits superficiels et à ceux qui sont pleinement satisfaits du monde actuel, de reposer ce livre. Quant aux autres, si ils ont la capacité de remettre en question tout ce qu'ils ont appris par le passé, il est possible que ce livre change profondément leur conception du monde.
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Il n'est pas à craindre que les Illuminati dominent le monde et mettent à bas les lois et les Constitutions, puisqu'ils le dominent depuis bien longtemps déjà, et que les lois et les Constitutions ne sont techniquement plus respectées depuis la Seconde Guerre mondiale. L'Histoire est primordiale. Pour savoir où nous allons, nous devons savoir d'où nous venons. Il y a fort longtemps, dans l'obscurité d'épisodes peu connus de l'histoire de l'humanité, de puissants rois ont découvert qu'ils pouvaient contrôler d'autres hommes par la magie, la guerre, la politique, la religion et l'intérêt. Des familles ont conçu des stratégies et des tactiques afin de perpétuer leurs pratiques occultes. Différentes couches de secrets ont caché ces familles aux masses profanes, mais quelques auteurs ont heureusement fait de nombreuses révélations quant à leur existence. Jésus a parlé de faits historiques. Saint Paul a rappelé à ses auditeurs des choses historiques. Flavius Josèphe a écrit une histoire du peuple d'Israël. « Ma recherche sur les hiérarchies de Satan a été rapide en raison de mes compétences de chercheur et parce que j'ai dès le début connu grâce à des informateurs la réalité de ce que j'étudiais. Mon enquête m'a amené à lire et à méditer des milliers d'ouvrages. Les livres, les journaux, les revues et les manuscrits que j'ai parcourus jusqu'à ce jour sont au nombre de plusieurs milliers. Pour singer et imiter les 12 tribus de Dieu, Satan a établi 12 lignées. L'une de ces lignées est celle d'Ismaël, au sein de laquelle une élite a développé l'alchimie, des méthodes d'entraide, et d'autres pratiques occultes. Le druidisme a été développé à partir d'une autre lignée, égyptienne, celtique et druidique. En Orient, une autre lignée encore a développé la magie orientale. Un lignage trouve ses racines à Canaan et chez les Cananéens. Il prit le nom d'Astarté, puis d'Ashdor et d'Astor. La tribu de Dan a développé des germes du type Judas Iscariote. La royauté de la tribu de Dan s'est perpétuée à travers l'histoire comme celle d'une lignée satanique très puissante. La 13e lignée a été calquée sur l'ascendance royale et divine de Jésus. C'est la maison satanique de David, dont les membres croient que leur sang ne vient pas que de la maison de David, mais également de la descendance de Jésus, auquel il attribue femme et enfants... Le 13e lignage satanique a été directement engendré par Satan, afin que ses descendants ne partagent par seulement le sang du Christ, mais aussi celui de son frère Lucifer. » Fritz Springmeier
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L'intégrale Tome 2 ; oeuvres anthumes (1945-1946) ; publications posthumes (1952-1962)
René Guénon
- Ethos
- 1 Avril 2020
- 9791092128970
Extrêmement exigeant dans sa quête initiatique, René Guénon s'applique tout au long de sa vie à l'étude des principales doctrines existantes ainsi qu'à l'infiltration des diverses sociétés secrètes et ésotériques de son temps afin de mieux les remettre en question et produire leurs critiques, « détruisant » ainsi spiritisme, théosophisme et occultisme, réfutant entre autres leurs théories fondatrices. Dans le tome 2 de l'intégrale de René Guénon, sont regroupés les titres qui suivent : Le Règne de la Quantité et les Signes des Temps (1945) ; Les principes du Calcul infinitésimal (1946) ; Aperçus sur l'Initiation (1946) ; La Grande Triade (1946) ; Initiation et Réalisation spirituelle (1952) ; Aperçus sur l'ésotérisme chrétien (1954) ; Symboles fondamentaux de la Science sacrée (1962-1964).
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L'intégrale Tome 3 ; publications posthumes (1964-2002)
René Guénon
- Ethos
- 1 Avril 2020
- 9791092128987
Extrêmement exigeant dans sa quête initiatique, René Guénon s'applique tout au long de sa vie à l'étude des principales doctrines existantes ainsi qu'à l'infiltration des diverses sociétés secrètes et ésotériques de son temps afin de mieux les remettre en question et produire leurs critiques, «détruisant» ainsi spiritisme, théosophisme et occultisme, réfutant entre autres leurs théories fondatrices. Dans le tome 3 de l'intégrale de René Guénon, sont regroupés les titres qui suivent: Études sur la Franc-Maçonnerie et le Compagnonnage, t.1&2 (1964); Études sur l'Hindouisme (1967-1989); Formes traditionnelles et cycles cosmiques (1970); Aperçus sur l'ésotérisme islamique et le taoïsme (1973); Mélanges (1976); Comptes rendus (1973-1986); Écrits pour Regnabit (1999); Articles et comptes rendus, tome 1 (2002).
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Extrêmement exigeant dans sa quête initiatique, René Guénon s'applique tout au long de sa vie à l'étude des principales doctrines existantes ainsi qu'à l'infiltration des diverses sociétés secrètes et ésotériques de son temps afin de mieux les remettre en question et produire leurs critiques, «détruisant» ainsi spiritisme, théosophisme et occultisme, réfutant entre autres leurs théories fondatrices. Dans le tome 1 de l'intégrale de René Guénon, sont regroupés les titres qui suivent: Introduction générale à l'étude des doctrines hindoues (1921-1952); Le Théosophisme, histoire d'une pseudo-religion (1921-1928); L'Erreur spirite (1923); Orient et Occident (1924-1948); L'Ésotérisme de Dante (1925-1949); L'Homme et son devenir selon le Vêdânta (1925-1947); Le Roi du Monde (1927-1950); La Crise du Monde moderne (1927-1946); Saint Bernard (1926-1929); Autorité spirituelle et pouvoir temporel (1929-1947); Le Symbolisme de la Croix (1931); Les États multiples de l'Être (1932); La Métaphysique orientale (1939).
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Mais où est donc passé le Moyen Age ? le récentisme
François de Sarre
- Ethos
- 1 Juillet 2013
- 9791092128048
Tout le monde connaît la phrase de George Orwell : « Celui qui a le contrôle du passé a le contrôle du futur - Celui qui a le contrôle du présent a le contrôle du passé ». On sait aussi que l'Histoire est écrite par les vainqueurs... Et pourtant, personne ne remet habituellement en cause la chronologie des derniers millénaires. Dans le présent livre, François de Sarre pose la question suivante : le Moyen Âge a t-il réellement existé ? D'après cet auteur, près de mille ans de notre Histoire occidentale aurait été purement et simplement inventés ! Si tel a bien été le cas, qui a été à l'origine de ces falsifications, et quel était le but recherché ? Depuis Jean Hardouin en France ou Isaac Newton en Angleterre, les savants récentistes ont tenté de rétablir la vérité historique. Actuellement, les savant allemands et Russes sont les plus actifs concernant ces thèses, comme le mathématicien Anatoly T. Fomenko. François de Sarre, à l'aide de disciplines nécessaires à la compréhension de notre passé (Histoire, archéologie, ethnologie, ect...) s'est intéressé aux discordances et aux anomalies de ce que nous considérons aujourd'hui comme notre chronologie. Il est également entré en contact avec divers autres récentistes comme Heribert Illig, Christian Blöss, et surtout Uwe Topper qu'il a rencontré à plusieurs reprises à Nice et à Berlin. Ainsi est né ce livre : Mais où est donc passé le Moyen Âge ? « Une théorie qui se croit à l'abri de tout risque de réfutation n'est pas une théorie scientifique, mais un dogme ! » Karl Popper.
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Lorsque le lecteur aura lu Des pions sur l'échiquier, il lui sera facile de réaliser que la lutte en cours n'est pas de nature temporelle. Ce n'est qu'aux environs de 1950 que j'ai percé le «Secret»: les guerres, les révolutions ainsi que toutes les conditions chaotiques que nous subissons et qui ébranlent nos vies ne sont ni-plus ni-moinsque les effets de la Conspiration luciférienne perpétuelle. Si l'on veut saisir les causes de ce qui a produit les effets que nous connaissons aujourd'hui, nous devons étudier l'Histoire, car l'Histoire se répète. L'Histoire se répète parce qu'il y a une continuité parfaite dans le combat qui se déroule depuis le commencement des temps, entre les enfants de la cité du Bien et ceux de la cité du Mal. Pour comprendre ce qui se passe dans le monde d'aujourd'hui, il faut étudier les événements historiques d'hier ainsi que les mouvements exécutés dans cette partie d'échec internationale... Les Illuminati ont divisé le monde en deux partis. Ils utilisent les «rois» et les «reines», les «fous» et les «cavaliers» ainsi que la population mondiale comme des pions. La politique impitoyable des hauts dirigeants les amènent à considérer tous les êtres humains comme des êtres inférieurs et sacrifiables. Le sacrifice d'un pion important ou bien d'un million de simples pions permet à leur mouvement de se placer encore plus près de leur dessein ultime. C'est cela, le despotisme de Satan. Dernier chapitre «inédit» en langue française. (Édition revue et corrigée 2019.)
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La conspiration visant à détruire tous les gouvernements et religions existants
William guy Carr
- Ethos
- 12 Juillet 2014
- 9791092128093
La Conspiration Mondiale, telle qu'elle est disséquée dans ce présent ouvrage nous offre une grille de lecture essentielle pour comprendre les tenants et les aboutissants de ce qui se joue en coulisse par les plus hautes élites du milieu financier, politique et religieux. William Guy Carr, par un travail d'enquête chirurgical, remonte à la genèse de la Conspiration Luciférienne, et dénonce les agents qui tentent depuis toujours d'établir un parfait contrôle sur nos existences et nos âmes, pour ainsi nous faire accepter l'asservissement total à un seul Gouvernement Mondial ainsi qu'à un seul Roi Despote. L'auteur, par le biais de diverses sources - notamment certaines correspondances entre hauts dirigeants maçonniques (comme la désormais célèbre lettre entre Pike et Mazzini) - nous démontre le profond complot dont nous faisons l'objet à chaque instant, mais également que toute cette Conspiration à avant-tout un but clairement mystique et eschatologique. Cet ouvrage est certainement le plus synthétique de tous les ouvrages de William Guy Carr. En effet, ce livre qui se veut donc très clair et compréhensible, était destiné à l'origine à alerter le grand publique, et l'auteur ne cessait de demander à tous ses lecteurs de le diffuser massivement au plus grand nombre de personnes possible, dans une démarche de pure charité chrétienne. Que le publique adhère ou non aux informations contenues dans ce livre, le but premier pour Carr était principalement de l'alerter afin qu'il puisse ainsi être totalement informé et donc être en pleine mesure de ''choisir''. Ce que l'oeuvre de Carr à apporté n'est désormais plus à prouver, et le nombre d'auteur s'étant inspirés de ses travaux est de nos jours pratiquement incalculable. Nous avons donc pris l'initiative de vous proposer cet ouvrage par une réédition intégrale ainsi que par une traduction précise et minutieuse. « Le Diable se cache derrière les détails. » - Friedrich Nietzsche.
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Pour bien comprendre l'horrible fin des doctrines subversives, cessons momentanément de fouiller les manuels d'économie politique et de sociologie dont une lecture trop exclusive nous empêcherait de voir autre chose. Déchirons le voile qui cache l'arrière-scène où se joue le véritable drame, ainsi nous constaterons sans peine qu'il s'agit d'un drame mystique auquel nous assistons. L'acteur principal dont il sera question, celui qui souffle, inspire, dirige et soutient le tas de marionnettes, celui qui patiente en coulisse: c'est le démon! L'auteur des «systèmes» si savamment étudiés et si atrocement appliqués de faire le «Mal» et d'en maintenir les effets. Nier que les doctrines soient les résultats d'une cause malfaisante, c'est précisément ce que le Diable veut faire croire aux naïfs pour atteindre son but; qu'il n'est pour rien dans les oeuvres de mort. Même quand il est monté sur son trône de boue, de sang, de fumée et de deuil, il exige encore le tribut de l'aveuglement. Le Diable ne demande pas mieux qu'une explication du Communisme, de la Franc-Maçonnerie et du Nazisme par une sujétion diabolique soit considérée comme une simple croyance naïve.
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L'art d'avoir toujours raison : dialectique éristique
Arthur Schopenhauer
- Ethos
- 23 Juillet 2015
- 9791092128192
"Bien que publié pour la première fois en 1864, ""l'art d'avoir toujours raison"" (que son auteur considérait comme « une première tentative dans ce domaine » est un ouvrage incroyablement d'actualitéL qui vous permettra de développer un sens de l'autodéfense intellectuelle puissant et redoutable. Les techniques de dialectique proposées par Arthur Schopenhauer sont légion. et de nombreux exemples viennent illustrer les propos afin de faciliter la compréhension de l'ouvrage. Le texte habillement découpé est riche de pertinence et d'intelligence philosophique et la démonstration est maîtrisée de bout en bout. Une oeuvre atypique d'une rare qualité intellectuelle. Comme l'auteur nous l'enseigne, la dialectique est une arme et le débat contradictoire un combat dont il faut sortir vainqueur. ""L'art d'avoir toujours raison"" vous permettra d'analyser votre adversaire pour mieux le terrasser par le verbe. Vous ne serez plus le même orateur après l'étude de ce livre.
« La vérité n'est déterminée ou confirmée qu'à la fin, [...] ...il n'est pas aisé pour quelqu'un de réfléchir à l'encontre des lois de la logique : si les faux jugements sont fréquents, les fausses conclusions sont rares, [.] ...la science de la dialectique, en un sens du terme, a pour principal but d'établir et analyser les stratagèmes malhonnêtes, [.] ...la véritable conception de la ""dialectique"" est donc comme suit : l'art de l'escrime intellectuel dans le but d'avoir raison dans une controverse... ». Arthur Schopenhauer."
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Israël et l'humanité ; étude sur le problème de la religion universelle et sa solution
Elie Benamozegh
- Ethos
- 12 Octobre 2020
- 9791092128178
Dans son livre Israël et l'humanité, Elie Benamozegh prône le mosaïsme pour la communauté juive et le noachisme pour l'ensemble de l'humanité. Selon le point de vue le plus orthodoxe, il tente à démontrer que, selon les Écritures, tous les membres des peuples de l'humanité sont aussi les enfants de Dieu. Israël était en réalité investi d'une mission sacerdotale au sein de tous les peuples qui sont les frères d'Israël. Benamozegh soutien que le noachisme est la véritable religion de l'humanité. Choisi par Dieu pour remplir ici-bas une mission éminemment religieuse, celle de répandre à travers le monde le monothéisme, Israël était en charge de trouver dans l'hébraïsme les éléments du monothéisme réservé au genre humain et qui, aux temps messianiques, devra réunir sous sa vaste égide, toutes les nations du globe. Selon les conclusions de l'auteur, Dieu ne demande pas que tous les peuples se convertissent au judaïsme et en pratiquent ses préceptes, mais qu'ils arrivent à la conception du Dieu Un, tout en l'adorant à leur manière. C'est à développer cette idée maîtresse qu'Elie Benamozegh a dépensé les trésors de sa prodigieuse érudition, puisant ses arguments aux sources bibliques. Israël et l'humanité a occupé Elie Benamozegh pendant de nombreuses années et il y a condensé toute sa pensée religieuse. Ce qui augmente le mérite de ce volumineux travail, c'est la loyauté avec laquelle l'auteur aborde toutes les questions et répond d'avance à toutes les objections auxquelles il prévoit que son ouvrage peut donner lieu; pas un problème qu'il ne soulève et qu'il ne cherche à résoudre. On ne sait ce que l'on doit le plus admirer dans ce texte, ou de la puissance de labeur qu'il suppose ou de la richesse de documentation qu'il révèle. Israël et l'humanité exercera une influence déterminante sur de nombreux penseurs, dont sur le psychanalyste Jacques Lacan. «Notre foi est claire, simple, rationnelle dans les principes et mystérieuse dans le culte.»
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L'ouvrage que vous vous apprêtez à découvrir constitue une des sources historiques les plus extraordinaires de tout le XXème siècle.
Dans ses Mémoires, Franz von Papen (important dignitaire nazi), écrivait : « [...] le compte rendu le plus documenté de la soudaine acquisition de fonds par les nationaux-socialistes fut publié dans un livre paru aux Pays-Bas en 1933 [...] et l'auteur est ''Sidney Warburg'' ».
L'ouvrage mentionné par Franz von Papen est précisément celui que vous avez entre vos mains !
Comment Hitler a-t-il obtenu les fonds et les soutiens qui lui ont permis de prendre le pouvoir en 1933 en Allemagne ? D'où provenaient ces financements de grands industriels et de banquiers ? Ce livre répondra à vos questions.
Sidney Warburg, rencontra tout au long de sa vie d'obscurs banquiers, comme il l'affirme lui-même.
Ce texte est sorti en Hollande en 1933, mais il n'est resté que quelques jours en librairie : puis il a été censuré ! Tous ses exemplaires - hormis trois qui ont accidentellement réussi à survivre - furent saisis en rayon. Ce livre et ses révélations ont été réduits au silence - enfin, presque... L'un des trois exemplaires miraculeusement rescapés se fraya un chemin jusqu'en Angleterre, où il fut traduit en anglais et déposé au British Museum. Ce volume et sa traduction ont été retranchés de toute consultation. Le deuxième livre en néerlandais ayant survécu fut acheté par le chancelier autrichien von Schuschnigg. Le troisième et dernier rescapé est arrivé en Suisse vers 1947 - celui justement que vous allez bientôt parcourir.