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Freehold, New Jersey : Une enfance passée entre une grand-mère adulée, une mère qui n'avait d'yeux que pour le père, dépressif, parfois violent, qu'il n'a cessé d'aimer. La découverte du rock aux glorieuses heures des 60's-70's et le départ de ses parents conduisent Bruce, à 17 ans, à gagner sa vie tout seul en faisant des concerts, à s'imposer dans les petites salles, bars et campus du Jersey shore. Puis, le premier disque, les succès toujours fragiles, la ruine, la gloire, les amitiés fortes, la découverte de l'amour vrai et de la paternité. Son écriture se nourrit de sa vie, de celle des laissés pour compte de la crise industrielle, des victimes de la guerre du Vietnam mais aussi des espoirs d'une jeunesse qui veut changer le monde auxquelles il consacre ses plus belles chansons. Bruce Springsteen s'est, depuis 7 ans, consacré à l'écriture de l'histoire de sa vie, apportant à ces pages l'honnêteté, l'humour et l'originalité qu'on retrouve dans ses chansons.
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Le grand n'importe quoi
Jean-pierre Marielle
- Audiolib
- Documents Et Essais
- 22 Septembre 2010
- 9782356412492
Jean-Pierre Marielle s'est jusqu'à présent peu livré, alors qu'il est en haut de l'affiche depuis une cinquantaine d'années, au théâtre, au cinéma, à la télévision. Un tel comédien, aux rôles paradoxaux, ne pouvait proposer une autobiographie classique. Ici, nulle nostalgie ni ragots mais une balade « à sauts et à gambades » dans l'intimité d'un acteur exceptionnel. On y croise les copains de toujours, Belmondo, Salvador et les autres, les auteurs vénérés, Ionesco ou Camus, les musiciens adorés.
Au fil d'une plume fine et vive, dans un joyeux bazar haut en couleurs, bons mots loufoques, traits d'esprit profonds et anecdotes savoureuses composent l'autoportrait sensible d'un des Grands ducs du cinéma français.Jean-Pierre Marielle prête sa propre voix à cette autobiographie, redoublant ainsi, pour l'auditeur, les plaisirs d'une connivence jubilatoire. -
« Marpa fut très remué lorsque son fils fut tué, et l'un de ses disciples dit : Vousnous disiez toujours que tout est illusion. Qu'en est-il de la mort de votre fils,n'est-ce pas une illusion ?". Et Marpa répondit : "Certes, mais la mort de mon filsest une super-illusion." »Pratique de la voie tibétaine La Chambre claire se présente au départ comme un essai sur la photographie. À ce titre, il est devenu une référence majeure. Mais il s'agit aussi et surtout d'un superbe récit. Au moment où Roland Barthes découvre le lien essentiel entre la photographie et l'épreuve intime qui l'obsède - la mort de sa mère -, il parvient à nous emporter dans un cheminement à la recherche du temps perdu et de l'être aimé. Comme l'explique Benoît Peeters dans l'entretien qui accompagne ici la bouleversante lecture de Daniel Mesguich, l'expérience la plus noire devient alors lumineuse; c'est pourquoi ce livre, peut-être le plus beau de Roland Barthes, ne s'appelle pas la chambre obscure, mais bien La Chambre claire."