Et si Rosa avait cherché à répandre le Bonheur ?
Partez à la (re)découverte de cette personnalité étonnante, figure novatrice et peintre animalière à succès du XIXe siècle.
Personnalité fascinante, Rosa Bonheur (1822-1899) est l'artiste des paradoxes. Créatrice hors norme encore trop méconnue, elle fut pourtant la meilleure artiste animalière de son temps et sut imposer, dans ce XIX? siècle très corseté, sa liberté et son indépendance.Sans anthropomorphisme ni sentimentalisme, ses peintures et dessins insufflent la vie aux animaux qu'elle observait inlassablement. Plus que jamais, au XXI? siècle, regarder l'art de Rosa Bonheur nous permet une nouvelle rencontre avec le vivant, et nous aide à mieux habiter le monde.Réalisé à l'occasion du bicentenaire de la naissance de l'artiste, cet ouvrage polyphonique accueille de nombreux spécialistes à la croisée de divers champs disciplinaires afin de donner à voir toute la richesse et la modernité de Rosa Bonheur.
Dans les allées du musée d'Orsay, qui ne s'est jamais déjà arrêté devant un des immenses tableaux de chevaux au réalisme troublant ? Pourtant, qui connait réellement Rosa Bonheur ? Cette artiste au joli nom évocateur place le monde vivant et animal au coeur de son travail et de son existence. A travers eux, elle s'engage pour la reconnaissance des animaux et de leur singularité. Son oeuvre restitue avec vivacité leur anatomie mais aussi leur psychologie. Cette artiste hors norme et profondément novatrice est encore aujourd'hui inclassable et inspirante !
Cet album, qui accompagne le bicentenaire de la naissance de l'artiste, dévoile la puissance et la richesse d'une oeuvre trop peu connue et pourtant célébrée à son époque.
L'histoire de cette exceptionnelle artiste débute en 1822 et s'achève en 1899. Rosa Bonheur aura traversé un XIXe siècle jalonné de bouleversements politiques, de transformations sociales et de progrès techniques. Issue d'une famille d'artistes, son talent est vite reconnu et elle accède à la célébrité alors qu'elle n'a même pas 20 ans. Sa réputation dépasse les frontières jusqu'en Angleterre et aux États-Unis et ses oeuvres font l'objet de spéculation de son vivant.
Peu attirée par les mondanités Rosa Bonheur quitte Paris à l'âge de 40 ans, en pleine gloire, pour se rapprocher de la nature. Elle s'installe à Thomery près de Fontainebleau, dans le château de By, qui deviendra son havre de paix, continuant toutefois de côtoyer une certaine gentry politique et artistique. Rosa Bonheur est une artiste prolifique et les conditions sont réunies pour poursuivre son travail acharné.
L'artiste ne se contente pas de peindre la nature environnante. Écologiste avant l'heure elle intervient quand bûcherons et carriers s'apprêtent à détruire les 25000 hectares de massif boisé, faisant jouer ses relations et sa notoriété. Rosa Bonheur défend aussi la cause animale et dévoile l'extrême brutalité à laquelle les animaux étaient soumis dans les abattoirs.
Toujours en avance sur son temps, Rosa Bonheur a fait usage de la photographie et crée son propre laboratoire photographique faisant elle-même ses tirages à partir des plaques de verre.
Isy Ochoa retrace ici le destin complet d'une femme de caractère, indépendante et talentueuse qui a marqué son époque et donné à l'art animalier ses lettres de noblesse.
"Peintre animalière vénérée aux États-Unis, en Angleterre et dans le monde entier, respectée mais également fort critiquée en France, Rosa Bonheur (1822-1899) a vécu comme elle l'entendait. Dans la transparence. Libre. Autonome. Affranchie de toute étiquette. Partisane du réalisme académique, pionnière du féminisme, homosexuelle présumée alors qu'elle se défendait de l'être, Rosa Bonheur s'est consacrée à son art et à la « sainte mission d'élever la femme ». En s'inspirant du récit de Rosa Bonheur confié sur le vif à son amie Anna Klumpke, Albertine Gentou s'est lancée dans la rédaction, à la première personne, des mémoires librement adaptés de cette femme d'exception."
Ce hors-série permet de découvrir le château Rosa Bonheur à Thomery qui fut sa demeure et son atelier. En lien avec l'exposition présentée au musée des Beaux-Arts de Bordeaux puis au musée d'Orsay, ce numéro permet aussi de se plonger dans l'art de la peintre, spécialisée dans la représentation animalière, la plus connue de la fin du XIXe siècle.
Ce fut alors que le souvenir de ses anciennes promenades au bois de Boulogne lui revint à l'esprit et décida de sa vocation. Elle se rappela les ravissements prolongés, les extases délicieuses où la plongeait, tout enfant, la vue de la nature ; elle comprit qu'elle était née peintre de paysages et d'animaux.»
Rosa, 14 ans, veut vivre de sa passion: la peinture animalière. Le mariage ne rentre pas dans ses plans, d'autant que c'est pour Nathalie, la fille d'amis de son père, que son coeur bat. Mais dans le Paris du xixe siècle, les femmes ne sont pas libres. Certaines formations, comme les Beaux-Arts, leur sont interdites. Certains lieux sont dangereux si elles s'y rendent seules. Quant à vivre libre? Ce serait le scandale assuré !Malgré son jeune âge, Rosa compte bien imposer ses choix. Aidée de son père et de Nathalie, elle prend des cours de peinture et se rend au Louvre pour s'inspirer des plus célèbres tableaux de l'Histoire ! Rosa n'accepte aucun compromis. Entrer dans le monde de l'art, pour elle, c'est s'affranchir de la loi des hommes.
Les jumeaux Anna et Willy vont au cirque pour la premieÌ€re fois avec leurs camarades de classe. Willy est ravi du spectacle. Mais Anna se pose beaucoup de questions : les animaux ne souffrent-ils pas d'être enfermés et dressés ? Toute la classe décide qu'il faut faire quelque chose ! Mais quoi ? Désormais, la loi reconnaît aux animaux le statut d'être sensible.
L'ouvrage est publié à l'occasion du bi-centenaire de la naissance de Rosa Bonheur, née en mars 1822.
Anna Klumpke (1846-1942) arrive dans la vie de Rosa Bonheur (1822-1899) en 1889. Elle sert alors d'interprète - Anna Klumpke est américaine - à un admirateur new-yorkais de passage en France. Rosa Bonheur est une peintre si connue aux États-Unis que son tableau Le Marché aux chevaux est accroché au Metropolitan Museum, et l'on offre aux enfants une poupée à son effigie.
Neuf ans après cette première rencontre, A. Klumpke est de retour au château de By, demeure de Rosa. Entre les deux femmes, une profonde affinité se fait jour. Venue pour quelques semaines, Anna finit par rester. Admirative, enthousiaste et attentive, Anna ne doute pas un instant que le monde puisse être fasciné par le témoignage de Rosa Bonheur. Elle en fera une oeuvre littéraire et historique. Tout au long de leurs entretiens, Rosa Bonheur évoque ses origines, sa formation tout autant que sa vie personnelle dont ses années communes avec Nathalie Micas. Il est ici question du féminisme, des droits des femmes, du statut des femmes peintres aussi bien en France qu'outre-Atlantique. Elle évoque la reconnaissance officielle - elle est la première artiste femme à être faite Chevalière de la Légion d'honneur -, le succès de ses toiles sur le marché de l'art lui offrant une indépendance financière.
Il est ici question des personnalités de l'époque qu'elle côtoie et apprécie comme Buffalo Bill, le duc d'Aumale, l'impératrice Eugénie et bien d'autres encore.
Ce livre brosse ainsi le tableau d'une artiste à redécouvrir et dont l'oeuvre s'étend quasiment sur tout le XIXe siècle. Natacha Henry assure l'édition révisée de ces entretiens.
Rosa Bonheur (1822-1899) vécut riche, célèbre, heureuse. en exerçant dès l´adolescence le métier qu´elle s´était choisi : peintre animalière. Pour une femme du XIXe siècle, une exception, un défi ! Grâce à un immense talent et une puissante force de travail, elle accomplit la promesse faite à sa mère, sa mère morte. Sophie X-Bonheur mourut à 36 ans dans d´insupportables circonstances. Rosa avait onze ans. Cette tragédie aurait pu l´anéantir elle lui transmit au contraire la force d´accomplir ce qui devint une mission de vie : « relever la femme, venger la mère ». Par la voix de Rosa Bonheur, ce livre nous raconte les arêtes vives de sa vie. Il nous parle d´elle comme elle aurait pu nous parler, en tête à tête, avec confiance. Ce monologue, adaptable au théâtre, devient notre dialogue avec elle, portrait choisi, rencontre.
Passionné de son pays d'Auvergne, François Yzorche a accumulé des archives, des photos, des documents pour faire revivre ce passé qu'il aime tant.
Rosa Bonheur reste le peintre mondialement connu pour ses peintures animalières. Son père, veuf, se remarie avec Marguerite Picard, native de Mauriac. Rosa fait alors la connaissance de cette ville.
Nous découvrirons également la vie de son frère Auguste, plus « paysagiste » que sa soeur. Il s'affirme comme le finisseur de beaucoup de toiles de Rosa, chacun se répartissant la tâche suivant sa spécialité.
Leur autre frère, Isidore, devient lui sculpteur animalier, à l'image de nombreux autres membres de la famille qui suivront sa voie.
Rosa est subjuguée par la beauté, la grâce et l'élégance des cheptels de vaches rouges qu'elle croise lors de ses nombreux séjours dans le Cantal. Leur couleur et leur morphologie touchent à la perfection grâce au travail de longue haleine mené par Ernest Tyssandier d'Escous.
Rosa Bonheur a connu, dans la seconde moitié du XIXe siècle, un succès si extraordinaire en France, ainsi qu'à l'étranger, qu'on la considérait comme le peintre le plus célèbre de son temps, alors que cette même époque maintenait les femmes dans une dépendance totale, ne leur reconnaissant aucun droit et, le plus souvent, les empêchant autant de s'exprimer que de créer. Mais Rosa Bonheur, petit bout de femme en apparence et grande artiste dans l'âme, sut très jeune s'affranchir des préjugés, avant d'assurer, par son talent, une émancipation qui fit d'elle un des peintres les plus essentiels de son temps, une femme qui aimait les femmes avec franchise et la première femme artiste à recevoir la Légion d'honneur. Acharnée au travail et jalouse de son indépendance, cette rebelle qui se forma toute seule apprit, au fil des années, à devenir un être pleinement libre. Émule de Delacroix, de Géricault et de Corot, qui lui vouèrent une grande admiration, très appréciée de l'impératrice Eugénie, du duc de Morny, de la reine Victoria ou de Buffalo Bill, la petite bordelaise d'origine modeste, qui finit châtelaine dans la forêt de Fontainebleau, sut imposer à l'Europe cultivée la force de son caractère et la virtuosité de son style. Saint-simonienne convaincue, adorant les animaux, cette vestale de l'art qui, selon sa volonté, vécut et mourut vierge, n'a cessé de peindre ces présumés inférieurs parce que, disait-elle, " ils ignorent les passions ". En leur compagnie, celle que Rustin surnommait la " French Lady " a ainsi composé, à travers des milliers de dessins, de tableaux et de sculptures aussi subtilement savants que formidablement vivants, la dernière grande géorgique de l'histoire de l'art occidental, signant ainsi un véritable épilogue du temps passé.
Célébrée dans le monde entier comme la plus grande peintre animalière de son temps, Rosa Bonheur (1822-1899) fut la première artiste à recevoir la croix de la Légion d'honneur, grâce à l'impératrice Eugénie, et la première femme à recevoir la rosette, grâce au président de la République, Sadi Carnot.
Dans un siècle qui considérait les femmes comme des mineures ou des incapables en Droit et en capacités, les assujettissant à un père ou à un mari, leur interdisant l'accès au savoir et à toutes formes de pouvoir y compris celui de gagner décemment leur vie, Rosa Bonheur se jura de « relever la femme ».
Cette promesse, l'enfant la forgea en mémoire de sa mère, morte d'épuisement et de misère après avoir été « abandonnée » avec quatre enfants par son mari, parti vivre avec les saintsimoniens « pour le bien de l'humanité ».
Grâce à son talent de professeur de dessin, ce même homme, Raimond Bonheur, permit à sa fille de devenir une peintre acclamée.
Composée à partir de journaux, de correspondances inédites, de témoignages laissés par les proches de Rosa Bonheur, cette biographie est la première à faire entendre au plus près la voix de l'artiste avec sa véritable personnalité, jusqu'ici souvent masquée par des témoignages approximatifs.
"Au matin du 14 août 1863, dans son château de By, à l'orée de la forêt de Fontainebleau, Rosa Bonheur attend avec impatience une lettre de la plus haute importance, lorsque s'annonce le marchand d'art Ernest Gambart. Le temps d'une journée, nous voilà entraînés dans le quotidien singulier de cette artiste pionnière, entourée de sa fantasque famille de coeur et de sa très remuante ménagerie ! Entre rires et émotions, les questionnements sur l'art et sur la place des femmes dans la société s'entrechoquent... et résonnent encore aujourd'hui."
«... et j'ai pensé que maintenant j'avais le droit de vivre pour moi et de disposer à mon gré de mon bien personnel, n'ayant eu ni enfants, ni tendresse pour le sexe fort, si ce n'est une franche et bonne amitié pour ceux qui avaient toute mon estime.» Artiste de renommée internationale, Rosa Bonheur décide au soir de sa vie de léguer la totalité de ses biens à sa « soeur de la palette », Anna-Elizabeth Klumpke. Le château de By et son parc, « compris le petit potager », les titres de rente, l'ensemble des oeuvres en ses ateliers, tout doit revenir à Anna. Telle est la volonté de Rosa, pour qui « la parfaite amitié » prime sur les liens du sang - et sur les prétentions de sa famille à l'héritage.
Elle s'en explique magnifiquement dans la lettre ajoutée à son testament, qui affirme son droit « de tester en faveur d'une compagne artiste ». Et pose ainsi, écrit Suzanne Robichon dans l'avant-propos, « un acte à l'aune de l'audace et de la liberté dont elle fit preuve toute sa vie ».
Le Testament et la Lettre-Testament de Rosa Bonheur s'accompagnent d'un article paru dans La Fronde sur ses obsèques, et d'une chronologie la situant dans son époque - la Restauration et le Second Empire, la guerre franco-prussienne et la Commune, le saint-simonisme et l'émergence du féminisme.
Édition établie par Suzanne Robichon.
L'histoire de l'art a longtemps oublié l'extraordinaire vivacité de la peinture animalière de Rosa Bonheur (1822-1899), artiste et femme hors norme qui a toujours géré sa carrière et sa vie comme elle l'entendait dans un siècle peu ouvert à la cause des femmes. Féministe, indépendante, portant le pantalon et fumant le cigare, Rosa Bonheur est la première à hisser la peinture animalière au même niveau, et aux mêmes dimensions, que la peinture d'histoire. La première femme artiste à être nommée chevalière, puis officière de la Légion d'honneur. Pour commémorer le 200ème anniversaire de sa naissance, sa ville natale, Bordeaux et le musée d'Orsay, à Paris, ont réuni toute une ménagerie d'animaux à poils ou à plumes passés sous son pinceau.
Cette monographie riche de nombreuses illustrations et photographies présente l'exceptionnelle demeure de Rosa Bonheur, la plus brillante et célèbre peintre du XIXème siècle. A Thomery, aux confins de la forêt de Fontainebleau, l'artiste s'y est installée en 1860 grâce au produit de son art. Ce château pourvu d'un grand parc abritera jusqu'à sa mort les très nombreux animaux qui lui servaient de modèles, vit passer l'impératrice Eugénie, Buffalo Bill etc. Labellisé Maison des illustres, cette belle demeure conserve abrite encore aujourd'hui ses collections et son atelier.
Le Château Rosa Bonheur, la demeure d'une artiste exceptionnelleRosa Bonheur appartient à la catégorie des femmes d'élite. Elle une des rares femmes à avoir percé dans le monde de la peinture au XIXème siècle. Née à Bordeaux dans une famille d'artistes, elle devient parisienne dès ses 7 ans et commence à vire de son art dès l'âge de 14 ans. Et à l'occasion d'un salon, sa virtuosité fut remarquée et rapidement sa renommée grandit en France et dans les pays anglo-saxons.C'est grâce au produit de son travail qu'elle put acquérir le château de By, à Thomery dès 1860 alors qu'elle n'a que 38 ans. Elle y restera jusqu'à sa mort en 1899.Le livre permet de découvrir l'origine de cette propriété avant de présenter son hôte illustre qui en devint propriétaire. La vie au château s'égrène ainsi avec ses joies et ses peines au milieu d'une ménagerie considérable. Rosa y vit avec ses chiens mais aussi de nombreux animaux sauvages qui lui servent de modèles.Ce livre est à la fois une monographie et un guide accessible à tous. Richement illustré, il donne à voir et à comprendre pour découvrir le lieu où Rosa Bonheur déploya ses exceptionnelles qualités de peintre pendant 40 ans. Des chapitres courts sont largement enrichis d'images et de cadres didactiques abordant un thème précis.
"On sait avec quelle sincère fidélité la famille Bonheur, qu'elle peigne ou qu'elle sculpte, rend la tournure, l'attitude et la physionomie de ces braves bêtes à cornes, si puissantes et si douces, dont le pelage brun ou roux fait de si belles taches sur les prairies. On dirait que ces dignes artistes ont pour atelier une étable, tant ils rentrent profondément dans l'instinct de l'animal", écrivait Théophile Gautier en 1880.
Unis dans la production artistique française de la seconde moitié du XIXe siècle, les enfants de Raimond Bonheur, Rosa, Auguste, Isidore et Juliette, ont laissé une oeuvre collective importante dans l'histoire de l'art animalier. Cette exposition retrace, de 1860 à 1930, le parcours de trois générations d'artistes parmi lesquels s'impose la figure emblématique de Rosa, aussi célèbre pour son pinceau que pour son tempérament.
« Je ne me plaisais qu'au milieu de ces bêtes, je les étudiais avec passion. » Son nom a quelque chose de familier, avec ses consonances pleines de poésie... Mais connaît-on vraiment son art ? Rosa Bonheur (1822-1899) a pourtant été l'une des artistes les plus célèbres de son époque, et ses oeuvres se trouvent dans de prestigieux musées du monde entier. Sa spécialité ? Les animaux, qu'elle peint avec une précision époustouflante. Avec elle, ce genre qui était considéré comme moins noble que la peinture d'histoire va être reconnu à sa juste valeur. Née à Bordeaux, elle se fait connaître à 19 ans à peine et lance une carrière qui atteindra les sommets. Son succès est tel qu'elle acquiert une indépendance rare pour une femme au XIXe siècle. Une oeuvre, mais aussi une vie hors du commun, à redécouvrir 200 ans après sa naissance.
Une découverte interactive qui favorise l'éveil artistique mais aussi la motricité fine et l'éveil des sens.
Dans cette nouvelle formule, le bébé est guidé par l'artiste lui-même, représenté sous forme de dessin, avec un texte à la première personne.
Tourner, pousser, baisser : il observe les oeuvres puis s'amuse à les transformer !
Un livre pour les enfants à partir de 2 ans.
Chaque année, Léonie passe ses étés « aux oiseaux » chez sa marraine Rosa.Rosa vit à la campagne, dans un vieux château. Mais elle n'a rien d'une princesse ! Chez elle, ce sont les animaux qui sont rois, qui sont reines. Cerfs, poules, sangliers, chevaux et même un lion vivent dans le parc. Mais, à peine arrivée, le ciel est d'encre et il faut s'abriter. Un orage se prépare...
Découverte du Portrait d'un lion de Rosa Bonheur.
Etude géologique, historique et statistique sur Thomery ancien et moderne, notice sur les environs, par A.-F. Huet,... (Janvier 1892.) Date de l'édition originale : 1892 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
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